CHATEAU DE FARGUES

UN VIN D’EXCEPTION

Le Château de Fargues produit un des grands vin de Sauternes. La magie de cette appellation réside dans l’action du  Botrytis cinerea , un champignon microscopique plus connu sous le nom de  « pourriture noble » .

Lorsqu’il apparait à l’automne, le jus dans le raisin se transforme, il perd de son volume pour acquérir des saveurs de fruits confits et d’arômes de fleurs.

Le vignoble est complanté de deux cépages : le sémillon (80% de la surface) qui apporte le gras, la rondeur et la structure ample au vin et le sauvignon blanc (20% de la surface) cultivé pour son coté aromatique et sa grande fraîcheur.

À Fargues, la quantité n’est donc pas l’objectif. C’est bien la qualité, vignoble de Fargues cherche à saisir et à mettre en bouteille l’explosion aromatique tout ce qui fait de son vin.

NOTRE PHILOSOPHIE

Le savoir-faire des « Lur Saluces », leur expérience séculaire, leur exigence absolue de qualité, font du Château de Fargues un vin d’exception. 

Cette recherche inconditionnelle d’excellence trouve son illustration dans la devise familiale : « Noch » – « Encore » qui signifie « toujours plus loin dans la recherche de qualité, de l’élégance, du raffinement, sans aucune compromission », telle est la  philosophie au Château de Fargues.

Tous les efforts visent l’unique étiquette, le seul vin, qui a fait la notoriété du domaine.
La propriété ne veut présenter aucun millésime imparfait ce qui implique de ne pas signer le vin des millésimes en 1972, 1974, 1992 et 2012.

Obstination

La recherche constante de la qualité sous- entendue dans le travail dans le domaine viticole de Fargues fait de ce vin blanc liquo-
reux l’expression très aboutie d’un grand Sauternes : un équilibre subtil entre douceur et fraîcheur, entre fruits confits et fruits acidulés, entre bouquet floral et minéralité.

Extravagance

L’explosion aromatique d’un Château de Fargues s’obtient au prix d’un réel sacrifice puisque le botrytis laissera à peine un verre de Fargues par pied de vigne au lieu d’une bouteille dans une vendange normale !

Sans concession

La solution est simple mais coûteuse : il faut demander aux vendangeurs de sélectionner les grappes voire les fractions de grappes, et même, les grains de raisin, attaqués et transformées par le botrytis cinerea. Les vendangeurs sont contraints à trier les raisins et jeter ce qui relève de la pourriture grise, le mauvais botrytis cinerea.

Moment de vérité

Le jus magnifié va ensuite subir, dans le secret du chai, une seconde modification, les levures transforment partiellement le sucre en alcool, le moût devient du vin.

Symbiose

Les hommes et les femmes de Fargues vont cher- cher à domestiquer ce phénomène tout au long de l’année, en préparant et entretenant les sols et par les soins apportés aux vignes favorisant ainsi son action au moment propice de la sur-maturité des grains.

Obstination

La recherche constante de la qualité sous- entendue dans le travail dans le domaine viticole de Fargues fait de ce vin blanc liquoreux l’expression très aboutie d’un grand Sauternes : un équilibre subtil entre douceur et fraîcheur, entre fruits confits et fruits acidulés, entre bouquet floral et minéralité.

Extravagance

L’explosion aromatique d’un Château de Fargues s’obtient au prix d’un réel sacrifice puisque le botrytis laissera à peine un verre de Fargues par pied de vigne au lieu d’une bouteille dans une vendange normale !

Symbiose

Les hommes et les femmes de Fargues vont chercher à domestiquer ce phénomène tout au long de l’année, en préparant et entretenant les sols et par les soins apportés aux vignes favorisant ainsi son action au moment propice de la sur-maturité des grains.

Sans concession

La solution est simple mais coûteuse : il faut demander aux vendangeurs de sélectionner les grappes voire les fractions de grappes, et même, les grains de raisin, attaqués et transformées par le botrytis cinerea. Les vendangeurs sont contraints à trier les raisins et jeter ce qui relève de la pourriture grise, le mauvais botrytis cinerea.

Moment de vérité

Le jus magnifié va ensuite subir, dans le secret du chai, une seconde modification, les levures transforment partiellement le sucre en alcool, le moût devient du vin.