LE MILLÉSIME 1996
Tout concourt à la production d'un grand vin liquoreux, à la fois classique et raffiné.
CONDITIONS CLIMATIQUES DE LA VIGNE
Le débourrement est très précoce. Un printemps sec mais frais conduit à une floraison début juin. Juillet, beau et chaud, suivi d’août chaud et orageux, amène les raisins à pleine maturité dès la première décade de septembre. Une petite récolte en sec pour le "Guilhem de Fargues" est réalisée. Ensuite, une quinzaine de jours pluvieuse favorise la contamination par le botrytis.
LES VENDANGES
La première trie débute le 30 septembre. Le joli mois d’octobre s’installe avec des brumes matinales et des après-midis ensoleillés. Les tries s’enchaînent sans discontinuer jusqu’au 14. Quelques pluies fines réactivent alors la pourriture noble. La récolte reprend pour deux tries supplémentaires et s’achève le 24 octobre. Ces conditions climatiques idéales ont favorisé un développement régulier du botrytis ainsi qu’une belle et élégante concentration.
LE VIN
Vinifié et élevé en barriques 3 ans Production : 20 000 bouteilles
NOTES ET CRITIQUES DÉGUSTATION>
Commentaire du Château de Fargues
Une belle robe dorée orangée, cuivrée.
Un premier nez un rien discret, mais ensuite on découvre toute la fraîcheur et l'élégance du millésime. Une dominante d'acacia, de genêts et de citron confit vite enveloppée par des arômes confits et rôtis, d’orange avec une petite touche finale épicée et très cannelle.
La bouche ouvre sur un joli volume un peu crémeux, et une sucrosité qui s’efface rapidement devant la fraicheur et la vivacité avant une finale un rien saline et sur une douce amertume. Les fruits compotés et confits (citron), la pâte de coing, la peau d’abricot se mêlent aux saveurs rafraîchissantes avant un léger rappel grillé et finement épicé qui s’accompagne d’amande et de cannelle.
Un parfait équilibre où la sucrosité se fait totalement oublier au profit d’une belle fraicheur et d’une douce amertume. Le vin est parfait pour la table, dès les huîtres ou encore viandes blanches en sauce, crémées.
Château de Fargues - janvier 2017
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Une belle robe dorée orangée, cuivrée.
Un premier nez un rien discret, mais ensuite on découvre toute la fraîcheur et l'élégance du millésime. Une dominante d'acacia, de genêts et de citron confit vite enveloppée par des arômes confits et rôtis, d’orange avec une petite touche finale épicée et très cannelle.
La bouche ouvre sur un joli volume un peu crémeux, et une sucrosité qui s’efface rapidement devant la fraicheur et la vivacité avant une finale un rien saline et sur une douce amertume. Les fruits compotés et confits (citron), la pâte de coing, la peau d’abricot se mêlent aux saveurs rafraîchissantes avant un léger rappel grillé et finement épicé qui s’accompagne d’amande et de cannelle.
Un parfait équilibre où la sucrosité se fait totalement oublier au profit d’une belle fraicheur et d’une douce amertume. Le vin est parfait pour la table, dès les huîtres ou encore viandes blanches en sauce, crémées.